Village Tazrouts © Région de Bouzeguene / kabylie
Tahar Mechehat sort de la réserve ( sentimentale ?) dans laquelle il s’est muré depuis des années pour sortir enfin un album de six titres pour dire sa rage, ses émotions et son amour pour tout ce qui symbolise la vie.
Sur des arrangements musicaux de Fardj Zerioul, musicien qui s’est frotté à de nombreux chanteurs de la nouvelle génération comme Mourad Guerbas ou Saïd Youcef, Tahar Mechehat prospecte les chemins sinueux de l’amour trahi et des déceptions sentimentales pour dire les choses qui le persécutent depuis son jeune âge. Pour cela il n’hésite pas à confier ses souffrances à la nature, à la brise qui distille ses caresse, à la source qui murmure ses chants et à l’arbre qui symbolise la vie consumée par les feux de l’amour mais aussi par le brasier allumé par les décideurs politiques dans une chanson qui dit le raz le bol des gens devant la malvie.
Même le soleil qui darde ses rayons brûlants sur le monde est désigné comme complice de l’embrasement social. Ce n’est pas pour autant que le chanteur lui dénie ses attributs de lumière et de chaleur qui réchauffe les cœurs meurtris.
L’enfant de Tazerouts n’est plus cet adolescent qui évolue au gré du vent mais un homme mûr qui dit son amour pour les siens, les souffrances qui oppressent les cœurs, la parole confisquée.Même si pour cela il a attendu des années. Habité par plusieurs passions, Tahar Mechehat est aussi un artiste autodidacte. Ses belles sculptures symbolisent l’amour qu’il porte aux gens et aux choses dans un hymne à la vie qui transcende toutes les frontières. Ses œuvres, d’une rare délicatesse, ont été exposées à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou. Bonne chance Tahar
Sur des arrangements musicaux de Fardj Zerioul, musicien qui s’est frotté à de nombreux chanteurs de la nouvelle génération comme Mourad Guerbas ou Saïd Youcef, Tahar Mechehat prospecte les chemins sinueux de l’amour trahi et des déceptions sentimentales pour dire les choses qui le persécutent depuis son jeune âge. Pour cela il n’hésite pas à confier ses souffrances à la nature, à la brise qui distille ses caresse, à la source qui murmure ses chants et à l’arbre qui symbolise la vie consumée par les feux de l’amour mais aussi par le brasier allumé par les décideurs politiques dans une chanson qui dit le raz le bol des gens devant la malvie.
Même le soleil qui darde ses rayons brûlants sur le monde est désigné comme complice de l’embrasement social. Ce n’est pas pour autant que le chanteur lui dénie ses attributs de lumière et de chaleur qui réchauffe les cœurs meurtris.
L’enfant de Tazerouts n’est plus cet adolescent qui évolue au gré du vent mais un homme mûr qui dit son amour pour les siens, les souffrances qui oppressent les cœurs, la parole confisquée.Même si pour cela il a attendu des années. Habité par plusieurs passions, Tahar Mechehat est aussi un artiste autodidacte. Ses belles sculptures symbolisent l’amour qu’il porte aux gens et aux choses dans un hymne à la vie qui transcende toutes les frontières. Ses œuvres, d’une rare délicatesse, ont été exposées à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou. Bonne chance Tahar
Hammoum Salem
Tahar Mechehat sort son premier album
18 septembre 2010
18 septembre 2010
